Cimetière militaire à Fromelles

(Traduit par Google) Le cimetière de Pheasant Wood n'est pas un cimetière ordinaire du Commonwealth. Le premier nouveau cimetière de guerre du Commonwealth a été construit en plus de 50 ans. Chaque homme enterré ici est décédé à la bataille de Fromelles les 19 et 20 juillet 1916. Ils ont d'abord été enterrés dans des fosses communes par les Allemands. Ils y sont restés oubliés jusqu'à ce qu'ils soient redécouverts 90 ans plus tard en 2008. Ce cimetière a été construit pour leur permettre de se reposer dignement endroit. 250 hommes, 204 Australiens, 3 Britanniques et 43 inconnus. De manière remarquable, près de 100 Australiens ont été officiellement identifiés à l’aide de tests ADN. La disposition du cimetière lui-même, si j'ose dire, n'a rien de spécial. Il existe de nombreux autres cimetières du Commonwealth bien plus beaux que celui-ci. Mais ce que j'ai trouvé vraiment spécial et extrêmement émouvant dans le bois de faisan, ce sont les épitathes inscrites sur de nombreuses pierres tombales. Les visiteurs devraient s'y promener en prenant le temps de lire les mots choisis par les descendants de ces hommes 90 ans après leur disparition. Ne l'oublions pas. (Avis d'origine) Pheasant Wood Cemetery is no ordinary Commonwealth cemetery. The first new Commonwealth War Cemetery built in more than 50 years. Every man buried here died at the battle of Fromelles on 19th and 20th July 1916. They were initially buried in mass graves by the Germans and remained there forgotten until rediscovered 90 years later in 2008. This cemetery was built to give them a dignified final resting place. 250 men, 204 Australians, 3 British and 43 unknowns. Remarkably nearly 100 of the Australians were formally identified using DNA testing. The layout of the cemetery itself, is I dare say, nothing special. There are many other Commonwealth cemeteries far more beautiful than this one. But, the thing I found really special and intensely moving about Pheasant Wood, are the epitaths inscribed on many of the headstones. Visitors here should walk amongst these taking their time to read the words chosen by the descendants of these men 90 years after they were lost. Lest we forget.